Parmi les 35 sites français inscrits au patrimoine mondial de l'Unesco, la plupart (32) sont culturels. Trois seulement sont naturels, à l'image des lagons de Nouvelle-Calédonie.
Comment intégrer la liste du patrimoine mondial de l’Humanité de l’Unesco ? Voici en quatre points, des éléments de réponse :
1 – Un pays propose un ou plusieurs sites au Comité du patrimoine mondial. Seuls les états membres de l’Unesco qui ont ratifié la Convention du patrimoine mondial et se sont par-là même engagés à protéger leur patrimoine naturel et culturel peuvent soumettre des propositions.
2 – L’Etat doit préparer au préalable une liste indicative, inventaire des sites naturels et culturels les plus importants situés sur son sol, et la fournir au Centre du patrimoine mondial. Il s’agit d’un état prévisionnel des biens que le pays peut décider de proposer pour inscription au cours des cinq à dix années à venir et peut être mise à jour. Un Etat ne peut en effet proposer un site à l’inscription s’il ne figure pas déjà sur sa liste indicative.
3 - Deux organisations consultatives indépendantes désignées par la Convention du patrimoine mondial, le Conseil international des monuments et des sites (Icomos) et l’Union mondiale pour la nature (UICN), sont chargées d’évaluer les sites proposés. Une troisième organisation consultative, le Centre international d’étude pour la préservation et la restauration des biens culturels (Iccrom), donne au Comité des conseils sur la conservation des sites culturels.
4 – Après l’étape de l’évaluation, le Comité intergouvernemental du patrimoine mondial, qui se réunit une fois par an, prend la décision finale. Il n’y a pas de limite au nombre de site que le Comité peut choisir d’inscrire chaque année.
Comment intégrer la liste du patrimoine mondial de l’Humanité de l’Unesco ? Voici en quatre points, des éléments de réponse :
1 – Un pays propose un ou plusieurs sites au Comité du patrimoine mondial. Seuls les états membres de l’Unesco qui ont ratifié la Convention du patrimoine mondial et se sont par-là même engagés à protéger leur patrimoine naturel et culturel peuvent soumettre des propositions.
2 – L’Etat doit préparer au préalable une liste indicative, inventaire des sites naturels et culturels les plus importants situés sur son sol, et la fournir au Centre du patrimoine mondial. Il s’agit d’un état prévisionnel des biens que le pays peut décider de proposer pour inscription au cours des cinq à dix années à venir et peut être mise à jour. Un Etat ne peut en effet proposer un site à l’inscription s’il ne figure pas déjà sur sa liste indicative.
3 - Deux organisations consultatives indépendantes désignées par la Convention du patrimoine mondial, le Conseil international des monuments et des sites (Icomos) et l’Union mondiale pour la nature (UICN), sont chargées d’évaluer les sites proposés. Une troisième organisation consultative, le Centre international d’étude pour la préservation et la restauration des biens culturels (Iccrom), donne au Comité des conseils sur la conservation des sites culturels.
4 – Après l’étape de l’évaluation, le Comité intergouvernemental du patrimoine mondial, qui se réunit une fois par an, prend la décision finale. Il n’y a pas de limite au nombre de site que le Comité peut choisir d’inscrire chaque année.